Soutien à Albert Knobel !

Soutien à Albert Knobel !

Le jeudi 18 août 2022, à 9 heures, au Tribunal cantonal de Lucerne, Albert Knobel (ancien cycliste professionnel) sera auditionné pour un très long procès.

Albert Knobel a été cycliste professionnel de 1972 à 1976. Ses plus grands succès incluent une 1ère place au prologue du Grand Prix Guillaume Tell (1972), une 3ème place au classement de la montagne du Tour de Bretagne (Milk Race , 1973) et une 1ère place à la Zurich (Züri- Metzgete, Amateurs , 1976). En 1976, il était membre de l’équipe cycliste professionnelle suisse Cilo – Leutenegger.

En 2015, après avoir dirigé un magasin de vélos à Altendorf pendant plus de 30 ans, il a postulé sans succès parmi huit autres candidats au poste de Conseil des Etats dans le canton de Schwyz.

Depuis 2021, il vit dans la Principauté du Liechtenstein. Dès 2020, Knobel a participé à des manifestations COVID-19 en Suisse, à la suite desquelles il a été arrêté et a passé plusieurs jours en prison. Le 12 juin 2021, il fonde une association appelée l’Union des peuples souverains sur le Gurten près de Berne.

Confronté à ses nombreuses arrestations et à ses lourdes amendes, Albert Knobel a choisi de ne pas se laisser faire. Il est auditionné aujourd’hui pour participation à des manifestations illégales et non port de masque dans des lieux publics.

Actions Suisse tient sincèrement à féliciter son combat et suivra son aventure.

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La Suisse dans le noir à cause des partis divisés ?

Les attaques viennent de tous les côtés.

Les Verts reprochent à Simonetta Sommaruga de faire avancer trop lentement le tournant énergétique et de «s’éparpiller». L’UDC a également exprimé cette semaine des critiques acerbes à l’encontre de la ministre. Le parti exige toutefois le contraire de ce que demandent les Verts: Simonetta Sommaruga devrait renoncer à la stratégie énergétique «qui a échoué». Selon eux, «le pays a besoin de nouvelles centrales nucléaires!»

Ils critiquent le tournant énergétique à long terme qui ne peut pourtant pas régler la crise qui est en train de se passer. Le vrai problème, dont les politiques à Berne devraient se saisir au plus vite, se situe en effet dans le présent, Poutine coupe le robinet de gaz et l’Europe court à la pénurie d’énergie. En même temps, après les sanctions prisent contre la Russie, cela était très prévisible…

L’UE réagi avec force. Elle veut réduire drastiquement la consommation de gaz, de -15% d’ici au printemps. L’Espagne a déjà adopté des mesures radicales pour augmenter l’efficacité énergétique. L’Allemagne lance une campagne massive pour inciter les citoyens à économiser l’énergie.

La France parle « rationnement » et « pass énergétique ».

En Suisse, rien de concret pour le moment, mise a part 3 scénario possible cet hivers. Simonetta Sommaruga ne voulait tout d’abord pas parler d’économies. Après tout, il ne fera froid qu’en hiver. Elle a désormais annoncé vouloir «sensibiliser» la population à la fin du mois d’août, sans toutefois préciser ce que cela signifierait concrètement. «Nous gaspillons d’énormes quantités d’énergie», déclare Stella Jegher, responsable du département politique chez Pro Natura. «Rien qu’au niveau de la consommation quotidienne, l’industrie, l’artisanat et les ménages pourraient économiser environ un tiers de l’électricité sans même s’en rendre compte. Mais pour cela, il faut des directives et des incitations au niveau politique.»

«Le plus grand potentiel se trouve dans les maisons, déclare Gallus Cadonau, directeur de l’Agence Solaire Suisse. Les constructions modernes à énergie positive économisent autant d’énergie que peuvent en produire quinze centrales nucléaires par an. Si, en plus, les toits et façades des propriétaires et des PME sont utilisés à des fins solaires, la Suisse peut remplacer chaque année deux centrales nucléaires comme celle de Mühleberg.»

Au lieu de se pencher sur ces considérations, les parlementaires préfèrent toutefois reprocher à la ministre de l’Energie de ne pas avoir correctement préparé le pays à la crise.

Noah Heynen, patron de l’entreprise solaire Helion, déclare: «La conseillère fédérale Sommaruga fait un très bon travail. Les conditions au Conseil fédéral et au Parlement ne semblent pas vraiment faciles.» Selon lui, le tournant énergétique est de toute façon incontournable. Le manque de progression que critiquent les Verts ne serait pas de la faute de la ministre de l’Environnement. Noah Heynen poursuit: «Le plus gros problème est la bureaucratie excessive. Et ce sont les cantons et les communes qui en sont responsables.»

L’association faîtière de l’économie AEE Suisse critique également les excès du fédéralisme. La conseillère fédérale pourrait toutefois tout à fait faire davantage, affirme le directeur Stefan Batzli – par exemple en ce qui concerne le développement de l’énergie solaire: «Nous pourrions nous atteler à la réalisation de grandes installations alpines.» Le plus gros obstacle réside ici aussi dans les complications administratives: actuellement, les lois sur l’aménagement du territoire ne permettent pas du tout de grands projets comme celui-ci. «C’est là qu’interviennent les juristes de l’administration fédérale, explique Stefan Batzli. Ils doivent être plus créatifs face à la crise énergétique qui nous menace.»

L’imagination plutôt que les paragraphes pourrait accélérer le tournant énergétique. Seulement voilà: l’UDC, parti à la critique la plus virulente envers Simonetta Sommaruga, n’a aucun intérêt à ce que la transition énergétique soit effective. Elle exige de nouvelles centrales nucléaires et une prolongation de la durée de vie des centrales existantes. Petit hic, la Suisse n’a pas de durée de vie fixe pour les centrales nucléaires. C’est ce qu’affirme Wolfgang Denk, directeur de Swissnuclear, l’association des exploitants de centrales nucléaires. Dans les scénarios actuels de la Confédération, les centrales de Beznau, Gösgen et Leibstadt restent couplées au réseau pendant 60 ans au maximum.

Est-il possible d’allonger cette durée? «En principe oui, répond Wolfgang Denk, tant que les rééquipements nécessaires sont possibles et que les centrales peuvent être exploitées de manière sûre et rentable.»

Dans les faits, la centrale nucléaire de Mühleberg a été arrêtée pour des raisons économiques – et non techniques ou politiques. Une chose est claire: les réacteurs existants fonctionneront au moins jusqu’en 2030. 

Les groupes énergétiques suisses se sont depuis longtemps convertis à l’énergie solaire. Que pensent-ils du débat à Berne? «Les grands obstacles de la transition énergétique sont de nature systémique», déclare Thomas Porchet de l’entreprise d’électricité Axpo. La personne qui dirige le département de l’énergie ne joue donc qu’un rôle secondaire.

Source: Blick

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Faudra-t-il baisser le chauffage à la maison cet hiver ?

SUISSE :⚡️

«C’est en tout cas une recommandation» expliquai Gui Parmelin pendant la conférance de presse de mercredi. «Il existe aujourd’hui un risque concret de pénurie de gaz à l’échelle européenne (…) La Suisse ne dispose d’aucune installation de stockage de gaz propre et dépend donc entièrement des importations, alors que les flux de gaz russe vers l’UE sont en chute libre. Jusqu’à trois quarts des livraisons de gaz en Suisse se font via l’Allemagne.

(…) Le remplissage des réservoirs se poursuit, certes, mais il est plus lent que souhaité et il est de plus en plus probable qu’ils ne pourront pas couvrir les besoins normaux durant l’hiver avenir, et que notre consommation de gaz devra donc être réduite. Nous ne sommes pas encore en situation de pénurie (…) Si les installations de stockage ne peuvent pas être remplies comme prévue, une situation de pénurie ne peut pas être exclue pour l’hiver prochain».

«Nous ne sommes pas une île, la guerre en Ukraine et la crise énergétique globale touchent aussi la Suisse. Dans ce contexte, il n’y a aucune certitude sur ce qui nous attend», a ajouté la conseillère fédérale chargée de l’Energie Simonetta Sommaruga.

Quatre scénario sont prêts pour faire face à une pénurie de gaz, allant du statu-quo à une pénurie persistante.

Pas l’heure à la panique.

Si la Suisse s’approchait d’une pénurie, le Conseil fédéral se contenterait dans un premier temps «d’appeler les consommateurs de gaz naturel à réduire leur consommation». Il n’y aurait alors rien de contraignant, mais si cela ne suffisait pas, le bâton arrivera avec «la possibilité de restrictions très concrètes, par exemple en ne chauffant plus les piscines, bâtiments inoccupés ou salles de gym», a dit Guy Parmelin.

Dans un premier temps, la Confédération lancera des appels à la réduction de la consommation dans le cadre d’une campagne de communication nationale. Les entreprises équipées d’installation biocombustibles seront aussi appelées à se préparer à acheter du mazout, même plus cher, et à tester la commutation (passage du gaz naturel au mazout).

En cas de pénurie persistante, un contingentement serait mis en oeuvre. Dans un premier temps, «les ménages privés et les services essentiels, comme les hôpitaux, ne seront pas touchés», a rappelé Guy Parmelin. Mais il n’y aura sinon pas d’exception.

«Chacun doit se remettre en question»

Invité dans l’émission Forum de la RTS Guy Parmelin précise le type d’économies que peuvent faire les particuliers: «Chacun doit se remettre en question et voir ce qu’il peut économiser. On parle de gaz, mais cela vaut aussi pour l’électricité.»

«Les spécialistes disent que l’on peut facilement économiser entre 20% et 30% de l’énergie. Songez simplement à tous les appareils qui restent en veille ou à la manière de se chauffer. Il y là un potentiel qu’il s’agit d’exploiter», développe le conseiller fédéral.

«Le rôle de l’Etat est de tout faire pour garantir un bon approvisionnement du pays en gaz et en électricité. Nous voulons à tout prix éviter une rupture de l’approvisionnement, ce qui aurait un fort impact sur les entreprises. On risquerait ensuite d’avoir une crise économique qui viendrait s’ajouter», conclut le ministre de l’économie.

A la questions de savoir si le prix du chauffage allait encore augmenter, il répond que cela dépend des différents contrat mais «qu’en baissant le chauffages par exemple de un degré ou deux, vous allez économiser du gaz et rendre service à l’approvisionnement économique du pays et à l’industrie et vous allez aussi diminuer la pression dans votre porte monnaie.

En parallèle l’état lui va tout faire pour essayer d’éviter d’arriver à ces extrémités, maie des conséquences sur les prix, il va y en avoir en tout cas cette année et certainement l’année prochaine. (…)»

Et vous ? Pensez vous que la Suisse manquera d’énergie cet hiver ? A quel point serons nous touché ? Faîtes-vous de (nouvelles) économies ? Lesquels ?

Des solutions ? Exprimez vous à ce sujet dans les commentaires!

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Chloé Frammery, du canal « Chloé F – Canal info officiel » licenciée pour son partage de l’information !

RÉSISTANCE:

L’enseignante en mathématiques à Genève révoquée pour les raisons suivantes:

1. Chloé Frammery a montré ses quenelles d’or.

2. Chloé Frammery a relayé des temoignages de victimes de la Shoah, faisant des comparaisons entre mesures sanitaires & mesures nazies.

3. Chloé Frammery a porté un Gilet Jaune avec un ananas.

4. Chloé Frammery a évoqué la procédure contre elle.

5. Chloé Frammery a publié le courrier du DIP du 6 déc 2021 destiné aux élèves 5P à 8P.

6. Chloé Frammery a remis en question la régularité des votations du 28 novembre 2021.

7. Chloé Frammery a évoqué le statut vaccinal de Mauro Poggia et son non-respect des gestes barrières, publié par la Tribune de Genève.

8. Chloé Frammery a interviewé Stan Maillaud.

9. Chloé Frammery a évoqué la liberté vaccinale avec ses élèves en soulignant le fait que la liberté vaccinale existait en Suisse, afin que ceux-ci disposent d’un réel libre arbitre.

« La grande majorité des violations sont intervenues hors du cadre scolaire mais ça n’amoindrit en rien la gravité de celles-ci. » Est il inscrit sur l’arêté.

Liberté d’expression ? Oui, mais pas trop…

Bravo à elle pour son engagement et pour son travail acharné dans la recherche de la vérité. Une source d’inspiration et d’espoir, elle mérite tout notre soutien !

Retrouvez sa vidéo complète avec cette publication sur son canal Telegram:

https://t.me/chloefinfosofficiel/2239?single

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Sept mois de prison ferme pour avoir ouvert son restaurant pendant le Covid.

RÉSISTANCE:

Le restaurateur Günter Diexer va payer cher sa résistance aux mesures sanitaires. Le tenancier d’un café d’Elsau, dans le canton de Zurich, vient d’écoper de sept mois de prison ferme. Il avait « enfreint les règles à de nombreuses reprises. »

Le titulaire de la patente avait refusé aux policiers l’accès aux locaux. Günter Diexer avait ainsi empêché les agents de contrôler et de dénoncer les clients présents.

Il était prêt à tout.

L’Autrichien de 56 ans a été jusqu’à devant la justice, en début de semaine devant le Tribunal de district de Winterthour (ZH).

C’est à Elsau, que se sont produits les faits aujourd’hui reprochés au restaurateur. Malgré le «lockdown» strict de l’époque, le courageux cafetier a accueilli des clients. La police cantonale zurichoise est venue une première fois le remettre à l’ordre, mais cela n’a pas eu grand effet, il a remis les couverts dès le lendemain. Bravo à lui !

Cela ne c’est pas arrêtée de sitôt, puisque l’établissement a été mis sous scellés. Suffisant pour arrêter Diexer ? Pas vraiment ! L’Autrichien a détruit les scellés officiels, malgré la présence de caméras, sous les acclamations de la foule aux alentours.

La police a ensuite changé le cylindre de la serrure du restaurant et apposé de nouveaux scellés, que l’aubergiste a aussi détruits.

Un beau geste qui lui a été reproché par le Ministère public, qui a requis 7000 francs d’amende et neuf mois de prison. Sans sursis.

«La juge peut commencer à transpirer. Si elle me condamne, elle sera poursuivie un jour pour haute trahison. C’est ce qui se produit lorsque l’on prend des décisions contraires à la Constitution!» déclare-t-il dans un mail adressé à Blick. «Le procès sera amusant».

L’Autrichien a expliqué à Blick vouloir porter l’affaire devant un tribunal international.

Günter Diexer a été condamné à sept mois de prison ferme ainsi qu’à deux amendes de respectivement 1500 et 2500 francs. Une véritable honte !

Le verdict a eu lieu en l’absence du restaurateur, qui ne «reconnaît pas le tribunal».

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